Comme je vous l'ai annoncé mardi, je me lance donc dans un défi fou : celui de proposer 1 projet de design par semaine tout au long de cette année. Dirais-je que c'est une de mes résolutions ? Pourquoi pas. Mais comme pour toutes les résolutions, le plus dur est de les tenir, je me suis dit que pour m'encourager, il fallait commencer par un truc qui marque, qui donne bien le départ, quelque chose de frappant !
Mais aussi, pour ne pas me décourager devant trop de difficulté technique, qu'il fallait commencer par du facile.
Je joins le facile de la création avec le facile de l'objet final. Il ne s'agit que de planter un clou, puis d'y accrocher le marteau avec lequel on venait de le clouer. Et vous avez un porte-manteau !
Pour ma part, c'était facile à penser parce que des marteaux, j'en ai, qui plus est en vacances chez mes parents, dans une maison qui a hébergé avant nous mes grands-parents et mes aïeuls, tous ouvriers-paysans. C'est dire si des outils on en a...
Et justement, le design raffole de ces clins d'œil au monde d'antan. Surtout si au final, la proposition est valable, et humoristique.
Voilà ma première tentative du Projet 52... Le premier pas est-il le plus difficile ?
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Très sympa! Il faudrait pas que ça vous retombe sur le pied, quand même, si on relève accidentellement le manche en retirant son manteau... (Petit point de colle discret derrière?)
RépondreSupprimerC'est drôle, je me suis fait à peu près la même résolution. Moi, c'est juste un billet chaque jeudi dans mon blog, mais, sachant qu'une bonne moitié sont des propositions de projets design, ça revient à faire mettons un "projet 26"...
Un Projet 26, ça tient déjà d'un bon rythme !!
RépondreSupprimerSinon, pour le risque de retombée malléale (... du marteau), il suffit de bien enfoncer le clou pour coincer le marteau. Evidemment, une version industrielle ne pourrait s'autoriser le moindre écart de ce genre et nécessiterait donc une fixation plus précise (encoche + plate-forme pour garder le clou, ou alors une vis pour assurer définitivement la tenue). Mais pour l'heure je n'en suis pas à l'industrialisation !